Afrique Géopolitique #1 : Le Sahel entre terrorisme et instabilité politique : causes, conséquences, … et espoirs ?

Par Tony De Amorim

Piégé entre menace terroriste, instabilité institutionnelle et influences étrangères, le Sahel concentre maintenant depuis plus de 10 ans de nombreux enjeux stratégiques. Comment expliquer la situation actuelle de cette région et quelles sont ses perspectives d’avenir ?

L’arrivée des groupes terroristes au Sahel 

Carte du Sahel, source image : https://www.alternatives-economiques.fr/sahel-a-chacun-priorites/00087625

Le terme sahel est dérivé de l’arabe et signifie « rivage », en référence à celui du Sahara. Cette désignation semble d’autant plus appropriée lorsque l’on constate que le Sahel est la région où sont venus s’échouer à la fin de la décennie 2010 différents groupes terroristes venus d’Algérie. Parmi eux, le plus important est le Groupement Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC), devenu ensuite Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI). Se sont ensuite ajoutés plusieurs milliers de Touaregs qui, intégrés à l’armée libyenne du Maréchal Kadhafi, sont revenus sur leurs terres après la chute du régime en 2011. Contrairement à ceux rentrés au Niger, ces anciens soldats ne sont pas désarmés à leur arrivée au Mali. En 2011, ils créent le Mouvement Nationale de Libération de l’Azawad (zone du Nord du Mali) et en 2012, ils s’associent à AQMI et se rebellent contre le gouvernement central malien. C’est à la suite de ces évènements que, à la demande du Mali, la France intervient en 2013 avec l’opération Serval, s’étendant ensuite à l’ensemble du Sahel en 2014 sous le nom d’opération Barkhane.

Alors que l’opération Barkhane s’est achevée en 2022, l’efficience de la présence française au Sahel durant la dernière décennie est remise en question. Comment peut-on alors expliquer l’échec de l’éradication de la menace terroriste dans la région ? 

Évolution du conflit et mise en place d’une situation stagnante 

Une explication de l’enlisement du conflit est la formation de « nébuleuses » de groupes terroristes durant la dernière décennie. Les groupuscules djihadistes se sont totalement réorganisés pendant cette période, comme le montre la carte ci-dessous, rendant plus compliquée l’identification des menaces pour les puissances occidentales. Le Sahel est alors devenu le théâtre d’un conflit asymétrique, c'est-à-dire opposant des forces régulières étatiques (comme la France par exemple) à des forces irrégulières et mouvantes, comme les groupes terroristes. Ces ensembles complexes permettent également à ces organisations de couvrir un territoire plus important et d’y créer autant de points de chute que nécessaire en cas de déplacement forcé par une menace militaire. Parmi ces groupes, on retrouve le Groupe de Soutien à l’Islam et aux Musulmans, affilié à Al-Qaida et formé en 2017 par la fusion de différents groupes djihadistes. Un des autres acteurs majeurs de la région est l'EIGS (État Islamique au Grand Sahara), branche régionale du groupe. Ces différents acteurs agissent principalement dans la “Zone des Trois Frontières” (Mali, Niger, Burkina Faso), aussi nommée « Liptako Gourma », et luttent pour la création d’un État islamique au Sahel.

Évolution de l’action des groupes terroristes au Sahel, source image : https://africacenter.org/fr/spotlight/le-sahel-et-la-somalie-sont-a-lorigine-de-laugmentationde-la-violence-des-groupes-islamistes-militants-en-afrique/

Une autre explication à la persistance dans le temps du conflit sahélien est l’absence de solution durable pour empêcher l’alimentation en effectif des organisations terroristes. L’étude « Défis transnationaux et sécuritaires aux frontières Guinée – Mali – Sénégal : Entre vulnérabilités et résilience » [1] publiée en 2021 par l’Institut de Timbuktu relevait que « les frustrations socio-économiques apparaissent comme les principales causes de radicalisation » et que les jeunes sont à 85% considérés comme les plus touchés par ces difficultés. La marginalisation est en effet une des causes importantes d’enrôlement dans un groupe terroriste. Bakary Sambe, directeur de l’Institut de Tombouctou, donne à ce titre un exemple marquant : celui de paysans peuls du centre du Mali qui, pour protéger leur bétail des pillards, sont allés se former aux armes auprès d’AQMI. A leur contact, des revendications à l’origine économiques et sociales se sont fondues à force d’endoctrinement en revendications religieuses. 

Toujours selon Bakary Sambe, la force militaire ne peut contrer que les conséquences du terrorisme, les causes de ce phénomène ne pouvant être traitées que par des changements sociétaux. Jusqu’à aujourd'hui, l’attention des États ne se portait que sur la riposte armée, qui reste nécessaire pour empêcher toute perte territoriale. Les questions sociales, d’éducation, de santé, qui sont les premiers moyens de créer une citoyenneté, ne sont cependant pas suffisamment prises en compte. L’endoctrinement au Sahel touche majoritairement une jeunesse délaissée et désabusée qui, par manque de perspective d’avenir, se tourne vers le djihadisme en quête d’espoir et d’aventure. L’absence d’institution ouvre la porte aux extrémismes, comme le relève l’institut de Tombouctou dans une récente étude [2] : « Les longues années de désengagement de l’État […] ont favorisé la montée en puissance d’organisations religieuses se substituant progressivement à l’État pour finir par le concurrencer dans des secteurs névralgiques comme l’éducation, le travail social et les politiques de jeunesse ». Pour éviter que les groupes continuent de puiser dans cette population pour alimenter leurs effectifs, il faut donc traiter les causes en plus des conséquences.

Un échiquier politique et diplomatique sahélien complètement remodelé ces dernières années  

Si les États peinent autant à s’adapter aux menaces auxquelles ils sont confrontés, cela peut en partie s’expliquer par les bouleversements qu’ont connu les différentes scènes politiques de ces pays. En 2022, les manifestations contre la présence de la France au Sahel se sont multipliées. Ces actes de contestations illustrent l’actuel souhait des peuples sahéliens pour l’affirmation d’un État fort contrôlant ses domaines régaliens. Cette redéfinition de la souveraineté des pays du Sahel est néanmoins freinée par un contexte sécuritaire et politique instable. 

L’initiative G5 Sahel fondée en 2014 avait pour but de regrouper les cinq pays sahéliens et de coordonner leurs actions dans la lutte contre le terrorisme. Toutefois, cette organisation militaire peine aujourd'hui à atteindre ses objectifs tant ses membres rencontrent des difficultés internes à leurs gouvernements. Les tensions au sein du G5 ont atteint un tel niveau que le dernier sommet du groupe en février 2023 s’est tenu en l'absence du Mali. 

Au Burkina Faso, les difficultés des gouvernements successifs à assurer la protection de leur population face à la menace terroriste a fragilisé et discrédité le pouvoir, servant ainsi de justification à deux coups d'État consécutifs. Depuis son putsch du 30 septembre 2022, Ibrahim Traore a pris le pouvoir et est ainsi devenu le plus jeune chef d’État au monde à 34 ans. Aujourd’hui, le positionnement du pays vis-à-vis de ses alliés reste compliqué à identifier et la pression terroriste est loin d’être retombée. La France se retire actuellement du pays, à la demande d’un gouvernement plus que jamais défiant de l’ex-puissance coloniale.

Manifestation anti-France au Burkina Faso, source image : https://www.lefigaro.fr/international/au-dela-de-l-influence-russe-les-raisons-du-sentiment antifrancais-endemique-au-sahel-20221013 

Au Tchad, après la mort au front du dirigeant Idriss Déby en place depuis 1990, c’est son fils Mahamat Déby qui a repris le flambeau en devenant président de la transition en 2021. Le pays est aujourd'hui sous tension avec la menace exercée par le groupe Boko Haram, proactif dans la région du Lac Tchad. Plus récemment, l’arrivée de nombreuses vagues de réfugiés venus du Soudan voisin, actuellement en proie à une guerre civile, contribue aussi à tendre la situation du pays. 

Si le Niger a un temps semblé politiquement plus stable que ses voisins, le récent putsch a plongé le pays dans un trouble semblable à celui des autres pays du Sahel. Diplomatiquement, le pays était à contre-courant de ses limitrophes. Après le départ forcé de ses troupes du Mali et du Burkina Faso, la France avait trouvé au Niger un point de chute et le soutien du gouvernement. Dans un entretien avec Le Monde, le Général Bruno Baratz résumait la position des forces tricolores vis-à-vis du pays sahélien [3] : « Au Niger et même de façon globale partout en Afrique, la position philosophique est différente de ce qui se faisait au Mali. Aujourd’hui, notre aide part d’abord du besoin du partenaire ». Toutefois, les événements récents ont acté la fin de ce partenariat, E. Macron ayant annoncé le 24 septembre 2023 le départ des forces françaises avant la fin de l’année.

La Mauritanie semble ainsi être une exception au Sahel, en réussissant à créer un « rempart contre le terrorisme ». Depuis son arrivée au pouvoir en 2008, le Général Mohamed Ould Abdel Aziz s’est efforcé de lutter contre la menace pour garantir la stabilité de son pays. Dans un entretien avec Le Point en 2015, il déclarait par exemple « Nous avons choisi de ‘déradicaliser’ ceux qui n'avaient pas de sang sur les mains. Nous les avons fait discuter avec des gens de religion […] [ils] ont été réinsérés dans la vie active ». Autre raison de la réussite de la Mauritanie dans la lutte contre la radicalisation : la revalorisation de son armée. La détresse économique étant une cause importante de la radicalisation, le pouvoir s’assure de diminuer le nombre de radicalisés en proposant une alternative au travers du métier de soldat dont la paye est garantie. 

Enfin, au Mali, un récent coup d’État a permis à l’officier Assimi Goïta et à sa junte d’accéder au pouvoir. Adoptant une position de défiance totale vis-à-vis des puissances étrangères présentes sur son territoire, ce nouveau gouvernement a précipité la fin de l’opération Barkhane et s’est complètement isolé sur la scène politique ouest-africaine. Dernier épisode en date, le 16 juin 2023, lorsque le Mali fait une demande pour le départ de la force de l’ONU Minusma de son territoire, fermant la porte à la coopération militaire occidentale.

Focus sur la présence de la Russie au Sahel 

Le groupe paramilitaire russe Wagner est arrivé au Sahel via le Mali en 2021. Sa présence a été officiellement reconnue par son dirigeant Evgueni Prigojine le jeudi 27 avril 2023 et le groupe est désormais suspecté d’agir également au Niger et au Burkina Faso. La simple présence de Wagner a fortement contribué au départ des forces occidentales du territoire, par son influence auprès des hautes sphères de la junte au pouvoir. L’impact de la milice, présente pour contribuer à la lutte contre le terrorisme, est cependant plus que critiqué. Selon un rapport de l’ACLED [4] de 2022, le groupe a contribué à créer un « climat de peur » au sein de la population et « 71% des faits de violence politique auxquels le groupe Wagner a pris part au Mali ont été marqués par des violences visant des populations civiles ». Ce sont plus de 500 morts civils directement causés par la milice qui sont ainsi rapportés fin mars 2022 sur l’ensemble du territoire Sud-Malien (voir carte ci-dessous), zone pourtant à plus faible activité terroriste.

Carte, la présence et l’action de Wagner au Mali, source image : https://www.france24.com/fr/vid%C3%A9o/20230509-wagner-au-mali-quel-est-l-impact-de-cette-milice-sur-les-groupes-jihadistes-au-sahel 

Wagner n’arrive pas pour autant à atteindre ses objectifs : pour Wassim Nasr, spécialiste du sujet [5], « l’arrivée de Wagner au Sahel a été bénéfique aux djihadistes ». Sans présence militaire régulière, la pression sur les organisations terroristes est largement redescendue et le manque de présence étatique ajouté au climat de peur en place facilite leur action. La présence de Wagner au Sahel a pourtant coûté en partie le départ des forces occidentales du territoire. 

Néanmoins, l’influence russe dans la région ne se résume pas à Wagner. La tournée réalisée début 2023 par Sergueï Lavrov, chef de la diplomatie russe, au Mali, Tchad et Mauritanie illustre parfaitement la stratégie d’influence menée par le Kremlin au Sahel. Comme sur le reste du continent, la Russie et la Chine se livrent à une concurrence acharnée pour remplacer les puissances occidentales en déclin dans leurs anciennes colonies.

Quelles perspectives pour le Sahel ? 

Tout d’abord, la menace est loin d’être éradiquée et semble plutôt s’étendre. L’histoire du terrorisme au Sahel est celle d’une lente migration vers le Sud. Arrivés depuis le Maghreb, ces groupes finiront-ils par s’implanter dans le Golfe de Guinée, zone de plus en plus menacée ? C’est ce que semble dire le Président de l'Assemblée nationale nigérien, Seyni Oumarou. Dans un discours datant du 7 avril 2023, il déclare vouloir un plus grand soutien de la part des pays de la côte du Golfe tel que la Côte d’Ivoire dans la lutte contre le djihadisme. La menace s’étend en dehors des limites du Sahel et nécessite une collaboration totale de tous les pays ouest-africain. Des liens entre les groupes sahéliens et les pays côtiers du Golfe sont en effet relevés depuis 2019 et le Togo, le Bénin, le Ghana et la Côte d’Ivoire sont régulièrement touchés par des attaques. 

Au Sahel, la menace semble avoir passé un cap. Dans son intervention, Wassim Nasr expliquait que la mainmise des terroristes sur certains territoires est telle qu’après une phase de massacre systématique des populations, les djihadistes sont entrés dans une période de gouvernement de ces zones. Une réponse sécuritaire doit être trouvée par les États au risque de se trouver dans la même situation critique que le Mali en 2013. Du point de vue des solutions, Lassana Diarra, chercheur à l’institut de Timbuktu expliquait dans un entretien avec France 24 qu’aucun État du Sahel n’appréhende la menace de la même manière. Faute d’analyse commune du danger, la coopération ne peut se mettre en place de manière efficace. 

Pourtant, des initiatives africaines envoient des signes positifs. Lors de la crise qui a suivi le putsch au Mali, la Communauté Economique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a su mettre en place un embargo rapide et efficace pour exiger des garanties démocratiques à la junte, avec succès. L’adhésion récente de l’Union Africaine au Sommet du G20 prouve également que les pays africains tendent à affirmer leur souveraineté. 

Le destin du Sahel n’est pas figé. Si la menace terroriste plane aujourd'hui sur les gouvernements et les peuples de la région, elle n’est pas une fatalité. Il apparaît stratégique pour ces Etats d’affirmer leur souveraineté sans faire tomber leur pays sous le giron d’une puissance étrangère. L’Afrique est un territoire en mouvement et si d’avenir les dangers institutionnels et sécuritaires récurrents étaient écartés, c’est un continent d’opportunités qui se révèle. 

Notes de bas de page

[1] Défis transnationaux et sécuritaires aux frontières Guinée – Mali – Sénégal : Entre vulnérabilités et résilience, Cas de la région de Kédougou. (s. d.). timbuktu.institute.org. https://timbuktu-institute.org/media/attachments/2022/01/25/defis_transnationaux_et_securitai res_aux_frontieres_guinee_mali_senegal_entre_vulnerabilites_et_resilience.pdf 

[2] Timbuktu Institute. (2023). Islam politique en Afrique de l& # 039 ; Ouest : Sortir du sécuritaire immédiat pour appréhender les stratégies à loAfp, L. M. A. (2023, 23 mai). Le Niger, « laboratoire » de la France pour sa nouvelle approche militaire en Afrique. Le Monde.fr. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2023/05/23/le-niger-laboratoire-de-la-france-pour-sa-nouvelle-approche-militaire-en-afrique_6174456_3212.html ng terme. timbuktu-institute.org. https://timbuktu-institute.org/index.php/toutes-l-actualites/item/710-islam-politique-en-afrique de-l-ouest-sortir-du-securitaire-immediat-pour-apprehender-les-strategies-a-long-terme 

[3] Afp, L. M. A. (2023, 23 mai). Le Niger, « laboratoire » de la France pour sa nouvelle approche militaire en Afrique. Le Monde.fr. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2023/05/23/le-niger-laboratoire-de-la-france-pour-sa-nouvelle-approche-militaire-en-afrique_6174456_3212.html 

[4] Serwat, L., Nsaibia, H., Carbone, V., & Lay, T. (2022a). Les opérations du groupe Wagner en Afrique : les tendances du ciblage de populations civiles en République centrafricaine et au Mali. ACLED. https://acleddata.com/2022/08/30/les-operations-du-groupe-wagner-en-afrique-les-tendances -du-ciblage-de-populations-civiles-en-republique-centrafricaine-et-au-mali/#s6

[5] Wagner au Mali : quel est l’impact de cette milice sur les groupes jihadistes au Sahel ? (2023, 9 mai). [Vidéo]. France 24. https://www.france24.com/fr/vid%C3%A9o/20230509-wagner-au-mali-quel-est-l-impact-de-cet te-milice-sur-les-groupes-jihadistes-au-sahel 

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